La France mais plus spécifiquement la langue française a joué un rôle à de nombreux niveaux lors de la création du territoire européen, mais aussi lors de l’affirmation de ses valeurs :
Détrônée par l’anglais à la suite des conflits mondiaux et de l’installation de la mondialisation, elle servait auparavant de lien entre les pays, en étant considéré comme langue de la diplomatie et de la littérature.
Même si la langue française a perdu sa force d’antan, de nombreuses marques d’utilisations de la langue française demeurent en Europe. La force d’une langue permet un échange immense entre des nations.
Pour le cas de la France, des francophones ont parcouru de nombreux pays d’Europe, dans de nombreux contextes et époques, quand, de la même manière, toute l’Europe a pu visiter et interagir avec la France et la langue française.
L’interculturalité doit s’exprimer par cet échange permanent, et doit absolument être multidisciplinaire. Plutôt que de pointer des différences ou des exceptions qui séparent les pays, on doit se baser sur ce qui peut les rapprocher, tout en prenant en compte que chaque nation à sa propre identité.
Quant aux enseignements, je répète chaque fois à mes élèves que le cours de français leur représente un moment privilégié qui leur permet de découvrir d’autres modes de vie, d’autres valeurs, enfin, pour entrer en contact avec une nouvelle culture et pour comprendre cette nouvelle culture il faut connaître sa culture, avant d’aborder celle des autres.
Pendant les cours qui se rapportent à la civilisation, j’anime, d’un côté, l’interaction entre les élèves eux-mêmes, entre les élèves et moi et de l’autre, je demande à mes élèves de raconter leur culture en fonction du thème traité et avec cette activité on développe les compétences interculturelles. Il est aussi indispensable que les élèves aient des informations sur des thèmes culturels traités, par exemple, lorsqu’on aborde l’Alsace, ce qu’elle représente- une représentation d’Alsace, de son histoire intéressante et son dialecte spécifique.
Marko Gruičić, prof.
Lycée Kladovo
École primaire « Vuk Karadžić » Kladovo
Détrônée par l’anglais à la suite des conflits mondiaux et de l’installation de la mondialisation, elle servait auparavant de lien entre les pays, en étant considéré comme langue de la diplomatie et de la littérature.
Même si la langue française a perdu sa force d’antan, de nombreuses marques d’utilisations de la langue française demeurent en Europe. La force d’une langue permet un échange immense entre des nations.
Pour le cas de la France, des francophones ont parcouru de nombreux pays d’Europe, dans de nombreux contextes et époques, quand, de la même manière, toute l’Europe a pu visiter et interagir avec la France et la langue française.
L’interculturalité doit s’exprimer par cet échange permanent, et doit absolument être multidisciplinaire. Plutôt que de pointer des différences ou des exceptions qui séparent les pays, on doit se baser sur ce qui peut les rapprocher, tout en prenant en compte que chaque nation à sa propre identité.
Quant aux enseignements, je répète chaque fois à mes élèves que le cours de français leur représente un moment privilégié qui leur permet de découvrir d’autres modes de vie, d’autres valeurs, enfin, pour entrer en contact avec une nouvelle culture et pour comprendre cette nouvelle culture il faut connaître sa culture, avant d’aborder celle des autres.
Pendant les cours qui se rapportent à la civilisation, j’anime, d’un côté, l’interaction entre les élèves eux-mêmes, entre les élèves et moi et de l’autre, je demande à mes élèves de raconter leur culture en fonction du thème traité et avec cette activité on développe les compétences interculturelles. Il est aussi indispensable que les élèves aient des informations sur des thèmes culturels traités, par exemple, lorsqu’on aborde l’Alsace, ce qu’elle représente- une représentation d’Alsace, de son histoire intéressante et son dialecte spécifique.
Marko Gruičić, prof.
Lycée Kladovo
École primaire « Vuk Karadžić » Kladovo